Première mouvementée pour un puceau

Lundi matin, à peine réveillé, je prends le bus pour aller en cours. Au bout de dix minutes, je m’aperçois que je suis seul dans le bus, enfin… une charmante demoiselle était installée deux rangées plus haut ; lorsqu’elle s’aperçut que je la regardais, elle se mit à rire. Du coup, j’étais super gêné ; je levai la tête et la vis se tenir devant la moi, une main sur la hanche l’autre caressant mes cheveux. Mon corps s’emballa : jamais une femme ne m’avait touché d’une manière si… coquine. Elle prit ma main et me glissa à l’oreille « Aujourd’hui, tu prends congé. » Complètement troublé, je la suivis en tenant sa main.

Notre marche s’arrêta devant un hôtel bas de gamme ; elle y entra, en me forçant un peu la main. Elle prit une chambre pour la journée. En montant l’escalier, elle me laissait volontairement son cul en exposition. On entra dans la chambre ; la porte claqua.

Mon cœur s’emballait : je ne comprenais pas tout ce qui se passait, ni pourquoi je m’étais laissé traîner là. Elle me poussa contre le mur et mit sa main dans mon pantalon. Aucune fille ne m’avait touché ici jusqu’alors ; je bandais comme un fou, mais je stressais tout autant ! Elle finit par s’accroupir et déboutonna mon pantalon, laissant mon sexe glisser de mon boxer. S’il y avait quelque chose sur laquelle je ne complexais pas, c’était bien mon sexe, de taille moyenne, mais plutôt épais : 4 cm de largeur au repos, mais jusqu’à 6 cm en érection. Elle passa sa langue sur ma tige de haut en bas, puis elle prit entre ses lèvres mon gland et, jouant avec mon prépuce, elle me décalotta d’un coup de langue. Les choses sérieuses commençaient… Elle cracha sur mon pénis et m’en lécha le bout tout en me branlant ; il s’ensuivit une fellation mémorable : elle mettait ma queue au plus profond de sa gorge sans pour autant éprouver la moindre gêne.

D’un coup, elle s’arrêta, se leva, posa sa main sur mon épaule et me fit descendre jusqu’à son bas-ventre.

– C’est à toi de jouer, mon grand !

– Qu... Quoi !? Mais je suis pas sûr ; j’ai jamais fait ça !

– Mmm, je me doutais bien, vu ta réaction, que tu étais puceau ; en même temps, sans te vexer, ça se voyait.

– Je vais enfin lécher une chatte… (avec la voix tremblante à cause de l’excitation et surtout le stress de mal faire).

– Une chatte ?! Mmm, oui : tu peux l’appeler comme tu veux.

Elle dézippa sa jupe, et fit glisser sa culotte avec une lenteur extrême sa culotte. D’un coup, rebondit sur mon visage… un pénis énorme, digne d’un film porno ! Son sexe, posé sur mon visage, le recouvrait à moitié.

J’étais sous le choc ; je m’attendais à tout, sauf à ça… En fait, j’avais depuis toujours été attiré par les pénis, mais l’idée d’être gay m’effrayait ; de plus, son sexe était d’une taille monstrueuse ! Essoufflé je restais bouche bée et immobile. Elle commença à frotter son pénis contre mon visage, caressant mon nez. Son odeur forte m’envahissait et je bandais comme jamais. Elle le posa sur ma bouche qui restait fermée, mais en força le passage sans trop de difficultés : à vrai dire, l’idée de me faire dominer ainsi m’excitait encore plus.

L’excitation m’emportant, j’agrippai son sexe géant de mes deux mains pour faire des allers-retours. Je sentais grossir cette verge monstrueuse aux veines saillantes… Je mis ma bouche autour de son gland et le gobai en entier. À vrai dire, j’en étais assez fier, vu la grosseur de cet engin ; j’avais du mal à aller plus loin. Mais c’était visiblement pas assez : elle mit ses mains autour de mon visage et poussa ma tête le plus loin possible, jusqu’à ce que mon nez touche son ventre. À ce moment-là, je sentis cette divinité au fond de ma gorge ; le sentir faire des allers-retours me mettait en transe… Elle lâcha ma tête au bout de trente secondes, autant dire une éternité pour moi ; je toussais, j’avais du mal à reprendre mon souffle mais elle était peu patiente : moins de cinq secondes plus tard, je me retrouvai à nouveau avec son sexe butant contre le fond de ma gorge.

– Alors, petit puceau, t’aimes ça, hein ? Tu vas être ma salope pour la journée, et tu avaleras à chaque fois. Compris ?

– Ouiiii… utilise-moi ! répondis-je en dégageant ma bouche juste assez longtemps pour répliquer.

Elle garda ma tête plaquée contre son ventre ; son pénis n’avait jamais pénétré aussi profondément dans ma gorge, mes yeux commençaient à se tourner vers le ciel et je n’arrivais plus à respirer. Elle juta au plus profond de ma gorge je sentis son sperme chaud couler en moi. Elle lâcha prise et je me mis à quatre pattes ; je luttais pour respirer ; je toussai pendant au moins une minute puis je me posai sur le lit pendant un moment, histoire de me reposer.

Je m’étais endormi ; à mon réveil, un peu groggy, je me retrouvai avec les mains attachées dans le dos, et nu comme un ver ! Pendant ce temps, elle téléphonait : « Oui, oui, bien sûr ; il est là, allongé sur mon lit. OK, à tout de suite ! »

Au réveil, toujours nu comme un ver allongé sur le lit, les mains liées, je me posais beaucoup de questions, mais visiblement j’avais peu de temps pour me les poser.

_Bien ! Tu es réveillé, j’ai invité quelques amis j’espère que ça te dérange pas.

_Quoi ! Mais je ne suis pas d’accord, et pourquoi je suis attaché !

_Tu es attaché car tu as osé t’endormir, et comme tu m’as beaucoup excité on peut dire que tu m’a posé un lapin.

_ Mais … c’était ma première fois s’il te plait laisse-moi partir !

Elle ne prit même pas la peine de me répondre, et on frappa à la porte.

Derrière la porte se trouvait, un homme très grand, musclé et seulement vêtu d’un marcel et d’un bermuda.

Une femme latine environ 1m60 taille de guêpe mais une énorme poitrine qui débordait de sa tenue en latex, complètement à l’ opposé de ma kidnappeuse, qui fessait au moins 1m80 et aux jambes de déesse et plutôt typé des Antilles.

Elle fit les présentations.

_ Je te présente Angélique, Aaron et je ne pense pas t’avoir dit mon nom ; moi c’est Margaux !

Je ne parlais plus, sans doute la peur en pensant à ce qui pourrait m’arriver par la suite.

_ Bon on ne va pas perdre de temps mes chéries ! Bon je vous présente mon esclave pour aujourd’hui, je viens juste de le dépuceler la bouche ! Et d’après ce que j’ai vu cette salope aime ça !

Les 2 invités se pressaient donc sous les indications de Margaux, l’homme se mit à mes pieds, et Angélique à coté de me tète.

Margaux me fit me mettre à genoux les jambes légèrement écartées, Aaron il glissa sa tête, il était allongé sur le dos, et moi assis sur son visage.

Il agrippa mes jambes et je sentis quelque chose de humide sur mon anus, c’était sa langue ! Il commençait à lécher mon trou. Encore une nouvelle expérience pour moi, très troublante un frisson me parcourut le dos de bas en haut. Sa langue faissait des petits cercles sur ma rondelle, et n’hésitait pas à explorer mon trou plus en profondeur, c’était divin !

Pendant ce temps, pendant que Margaux prenait un malin plaisir à me voir découvrir les joies de l’anulingus tout en me branlant, Angélique se pointa debout devant moi.

_ Aaron prépare moi bien son cul ! J’ai hâte de le visiter

Angélique plaqua mon visage contre son short en latex, je senti un bosse ! Elle-même était une « shemale » son pénis grossissait de plus en plus, elle continuait de frotter ma tête contre sa tige.

_ Tu vois bien que je suis serré dans mon short ! Libère la mon chou.

J’avais la tête qui tournait, mon corps tremblait sous les délicieux coups de langue d’Aaron, je levais les yeux de plaisir, je tentai pourtant de me retenir mais c’était plus fort que moi.

Bien que l’idée de revoir un pénis dans ces conditions m’effrayais, mais au fond de moi je n’attendais que ça ! Je voulais sentir cette chose en moi, me domine !

_ Je ne peux pas la sortir, mes mains sont attachées…

_ Utilise ta bouche mon chéri.

Je pouvais voir son pénis comme pris dans une prison de latex, alors je me mis à chercher à moyen de libérer cet engin qui m’attendait.

Une fermeture éclair se trouvait sur le coter du short, je réussis avec beaucoup de difficultés à la faire glisser pour l’ouvrir avec mes dents, puis je saisis avec mes lèvres le haut de cette prison de textile qui me séparait de mon lot. Je fis descendre le vêtement jusqu’à ses genoux, en remontant l’excitation me donnait de l’assurance, je lui fessais des baiser sur ses jambes petit à petit je m’approchais du but.

Je me trouvais maintenant sous ses couilles, je ne tenais plus j’agissais d’instinct ! Je mis en bouche ses boules les gobant sans retenu, je les léchais partout je ne voulais pas en laisser une miette.

_ Mmmmmh, Margaux tu es sur qu’il a jamais fait ça avant ?

_ Ecoute je suis tout autant étonné que toi, cette pédale ne rêvait que de ça ! Aller mon chou attaque toi au plus gros morceau.

Je me faissais traiter de pédale et cela ne me gênait pas j’étais trop concentrer sur cette bite palpitante d’impatience. Angélique prit sa tige en main et se mit à la taper sur mon visage, cette sensation d’être dominé de la sorte me rendait fou d’excitation, je lui tendais l’autre joue.

Finis de jouer, je léchais sa bite de bas en haut pour finir par prendre en bouche son gland, je m’inspirais des nombreux films pornos que j’avais vus. Je le gardais donc en bouche en bougeant la langue en cercle, pendant que cette trans se branlait.

Angélique me poussa je me retrouvais sur le dos, allongé sur Aaron, sa bite juste à côté de mon visage, elle était énorme avec une veine gonflé de sang qui palpitait toute seule. Alors que je tandis mes lèvre pour tente de la consoler avec ma bouche Angélique me retourna ce qui m’éloigna de la cible, mais pas pour longtemps, J’étais maintenant en position de 69 avec cette homme.

Margaux me libera les mains, elle me savait dompté et excité je pris donc cette bite incroyable entre mes mains et l’enfourna dans ma bouche aussi sec, Aaron fit de même de son côté.

Angélique me claqua les fesses ce qui me fit lâcher un petit cri.

_ Mmmmh Aaron tu as fait un super boulot ! Son trou est parfait ça va rentrer comme dans du beurre !

A ce moment je ne savais pas vraiment ce qu’y m’attendais concentrer par la tige de Aaron et de Margaux qui c’était joint à nous, sans qu’elle en avait marre de joué la voyeuse.

Je sentis quelque chose de chaud, dur et humide se pointer à l’entrer de mon anus, une sensation agréable semblable à ce que m’avait fait Aaron, mais là je savais que ce n’était pas une langue.

Angélique était derrière moi et visiblement impatiente de me pénétrer, moi je dois bien l’avouer sa faissait maintenant de nombreuses minutes que je n’attendais que ça, bien que stresser car j’avais peur d’avoir mal. Mon anus avait été travaillé divinement et Angélique réussit sans aucune difficulté à glisser son gland en moi. Comme je m’en doutais un cri de douleur m’empara car même si la pénétration fut facile de son coté, pour moi c’était la première fois. Je me crispais ce qui resserra mon trou sur sa bite, mais Angélique n’y prêtait pas attention elle prit un peu d’élan et d’un coup de rein elle rentrait le tout. Cette fois si la douleur fut bien présente une larme coula et j’en avais le souffle coupé. Aaron en profita pour glisser sa bite tout à fond de ma gorge, je la sentis buter au fond, je dois dire que je commençais à être débordé par les évènements qui commençaient à m’échapper.

Margaux semblait légèrement s’inquiéter pour moi, du moins c’est ce que je croyais.

_ Bah alors mon chou ! On s’étouffe

_ Oui ! Je n’ai pas l’habitude faut pas y aller comme un bourrin !

_ Oh ! Pauvre petite salope… je pense que tu n’as pas encore comprit

Elle fout sa bite dans ma bouche en même temps que celle d’Aaron ! J’avais actuellement deux énormes bite dans ma bouche j’étais rempli. Angélique pendant ce temps commençait les allers-retours dans mon cul, la douleur laissait place au plaisir, sentir sa chaleur traverser mon corps. Sentir cette chose explorer mon intérieur était un de mes fantasmes secrets, maintenant fait et un fois la douleur passé, je reculais mes fesses pour en recevoir encore plus. Pendant que ma bite se faissait sucer par un pro, il faisait des gorges profondes avec un-t-elle facilité, quand à moi je tentais de faire de même mais avec ces 2 bites qui me tournaient autour je n’en avais pas l’occasion.

A ce moment-là, je ne me reconnaissais plus, et je devenais même entreprenant.

_ Mmmmm je te veux en moi Aaron.

_ Allez grimpe ma salope.

Angélique semblait presque triste et jalouse, j’avançais donc juste pour me placer au-dessus de sa bite pour le chevaucher, il s’exclama

_ Attend ! De l’autre sens, je veux voir tes yeux jouir, place toi au-dessus de ma bite mais tourner vers moi, sac à foutre

Ces paroles m’existaient encore plus, je me pressais d’exécuter ses ordres, pressé de le recevoir en moi. Je mis donc dans sa direction pour le chevaucher, sa bite était bien plus épaisse que celle d’angélique.

Je commençais donc l’intention de cette énormité, je me mis accroupi et descendais légèrement, tout en tenant sa bite de ma main gauche ma main droite s’appuyait sur son torse. Margaux derrière moi, bandait comme une folle, je sentais sa bite caresser mon dos, elle mit ses main sur mes épaules, comme pour participer à cette évènement.

Quand son gland toucha mon anus, je ralentis et prit une respiration. Son gland étant énorme je ne devais pas me précipiter même l’envie était forte. Je commençais ma descente mon trou ayant déjà été ramoné par Angélique facilitait le travail, je sentais quand même que ça serait plus compliqué qu’avec elle, je forcais un peu pour faire rentrer l’énorme gland, Margaux cracha sur sa main et en profitai pour lubrifier la tige à Aaron et mon trou. D’un coup d’un seul , son gland rentra dans mon cul, presque aspiré par lui, maintenant je decendais de plus en plus, mais sa bite s’élargissait vers le bas. Margaux toujours ses main sur mes épaules se doutait de problème, sûrement en entendant mes petit cris, elle s’appuya fort sur mes épaules, je descendis donc à une vitesse folle jusqu’à la base du pénis d’Aaron, Cette fois si bien que j’eu mal je ne lâchais pas de cris.

Pendant que je commençais mes aller retour sur son engin divin,Margaux était descendu pour lécher les couilles de mon poney.

Angelique perdait patiente , vexée du fait que je désirais la bite à Aaron alors qu’elle était encore en moi. Elle se mit debout face a moi, m’agrippa la tête et me baisa la bouche d’une puissance inouïe ! Sa bite tapait au fond de ma gorge j’en avais mal et me provoquait de envie de vomir, elle juta au fond de ma gorge sans gêne sans en laisser un goutte.

_ Sale pute, tu m’as humilié ; ma bite te plait pas ? tu vas la bouffer pendant des heures !

Margaux chopa la bite à Anglique en lui serrant bien fort afin qu’elle se retire.

_ Calme toi, ça suffit maintenant ; tu veux casser notre jouet ? Mais je suis sur qu’il va trouver un moyen de se faire pardonner.

J’étais très étonné de ce moment de compassion de sa part, après tout c’est elle qu’y ma amené ici et utilisé comme esclave sexuel. Angelique se calma de suite, elle se mit à genoux en face de moi et tendit son sein, au final dans cette histoire bien que j’étais avec deux « shemales » je ne pus profiter de ces paires de seins énormes. Avec une légère hésitation je mis à lui lécher les tétons, elle appuya ma tête, pour que j’en mette plus dans ma bouche, je prenais ses seins à pleine bouche, je la tétais à souhait, j’avais l’impression de retourner en enfance.

Mes fesses continuaient de chevaucher Aaron, Margaux en avait marre de jouer avec ses couilles et se mit derrière moi je collais à moi sa poitrine était plaquée sur mon dos.

_ On passe au niveau supérieur

Perplexe je hochais la tête, sa bite se pointa à l’entrée de mon anus, Aaron écarta mon trou avec ses doigt afin de faire de la place. Margaux y entra d’un coup sec, mon cul était rempli par deux énormes bites, je poussais un cri plus fort que jamais, je me mis à pleurer comme un bébé.

_Non pitié ! Je ne peux pas, je ne supporterai pas ! J’ai trop mal.

Angélique cala ma tête contre son sein afin de me bâillonner, je lui mordis le sein tellement ma douleur était grande, cela ne semblait pas la déranger et tout en me caressant les cheveux elle se tenait le sein de l’autre main afin de me concentrer la dessus. C’était très efficace, sans doute le côté maternel dans l’intervention, je me calmais.

Margaux commençait la pénétration, mes mains se trouvaient sur le torse de Aaron posées sur ses muscle énormes, mes ongles s’enfonçaient légèrement dans sa chair, je mis du temps à apprécier ces deux engins, je commençais à en ressentir les effets.

Je m’allongeais donc sur le corps musclé de mon amants et je me retrouvais face à la bite de Angélique que je partageais avec Aaron, on se la passait de bouche en bouche et profitant pour s’embrasser.

Sans même me toucher la tige, je bandais comme un fou, ma bite palpitait de plaisir, je ne tardais pas à gicler, entre le corps de Aaron et le mien mon foutre s’éparpillait sur nos corps. Et je fus suivit par me camarades de jeux, Margaux se retira et me mit sur le lit, et installa sa bite sur le coin de ma joue.

_Mmmmm, putin ! Prend ça et surtout reste pas comme ça t’essuie pas !

Son sperme était étalé sur mon visage et dégoulinait quelque goutte tombait sur ma propre bite, mon visage fut recouvert dans le minute par Aaron et Angélique qui s’embrassait langoureusement pendant qu’il jutait.

J’étais noyé sous le sperme, Angélique me nettoya le visage avec sa langue et prit tout en bouche, puis le partagea en m’embrassant nous avalons la semence en même temps.

En une journée je suis passé de puceau à une salope. Il se faisait tard et j’étais épuisé, je devais rentrer chez moi, ma mère devait s’inquiéter. Margaux prit mon numéro de téléphone en me donnant des instructions.

_Mon chou, quand je t’appelle tu réponds, même si tu es accompagné, tu seras notre jouet ; si je te dis de venir me rejoindre tu le fais ! De te balader à poil tu le fais ! Comprit salope !

Je répondis « oui » avec joie sans trop réfléchir, à vrai dire je me sentais heureux, je n’avais envie que de me sentir utilisé comme un vulgaire esclave sexuel je partis de chambre de l’hôtel avec une forte érection. En sortant je vis toute le porte ouverte de l’hôtel, certaine était resté ouverte par oubli ou volontairement, je glissai ma tête dans quelque unes car j’entendais du bruit dans chacune d’entre elle je surpris des hommes entrain de baiser, soit il était entre hommes, avec des « shemales » et rarement des femmes les accompagnaient. Je reçus plusieurs fois des propositions de le rejoindre, mais je devais rentrer. Mais une chose était sur c’est que je reviendrai ici souvent.

AWAIO91